notre interview |
1. Quand avez-vous créé votre organisation ?
L’automne dernier, en novembre. Je suis parti en Haïti avec un collègue pour rechercher un endroit pour créer un lycée. Nous avons découvert un système éducatif qui avait 41 écoles (avec 10.000 élèves et 367 professeurs) et qui avait fait faillite, depuis 3 ans les écoles fonctionnaient mais les professeurs n’étaient plus payés. Sans ces écoles, sur le haut plateau central les enfants n’auraient aucun moyen d’étudier. Nous avons donc décidé d’acheter ces écoles et de les gérer avec notre association. En Haïti, 85% des écoles sont privées. |
2. Avec qui avez-vous décidé de la créer ? Et pourquoi ?
Mon partenaire est Paul English, il est très généreux. Paul voulait aider Haïti, et j’ai décidé de me joindre à lui. Notre autre partenaire s’appelle : Marie Flore Chipps une haïtienne qui connaît très bien ce système.
3. Pourquoi est-ce-que vous avez commencé votre association ?
L’éducation aide à réduire la pauvreté et en Haïti c’est très nécessaire. En ce moment l’éducation est un luxe mais tout le monde doit l’avoir.
5. Combien de personnes font partie de votre organisation ?
5 personnes qui travaillent à plein temps à Boston avec un board de directeurs de 5 autres personnes et en Haïti un groupe de 402 employés en tout.
6. Est-ce que les personnes gagnent un salaire ou sont bénévoles ?
Oui, nous les payons tous, on paye 3000 dollars par mois nos professeurs (un bon salaire pour les encourager à rester)
7. Que fait exactement ton association?
On dirige 42 écoles, on supporte des écoles, on fait la gestion, on construit des écoles, on donne du matériel, on donne accès à des programmes de santé aux enfants, on fournit des programmes de cantine et on donne une excellente formation aux professeurs.
8. Qu’est-ce-que vous faites pour lever des fonds?
On rencontre des personnes qui ont beaucoup d’argent qui veulent faire une différence. On travaille avec beaucoup de fondations et on fait des campagnes de publicité sur les médias sociaux.
9. Est-ce que vous avez un métier autre que l’association ?
Oui, je travaille avec ma femme, on a une école pour des orphelins au Kenya. Je suis aussi un alpiniste et je grimpe des montagnes avec des sponsors (Mont Everest 2 fois, Mont Kilimanjaro en Afrique, Mont Aconcagua en Amérique du Sud, Mont Blanc, etc.). C’est une passion.
10. Sur votre site, nous avons vu que vous avez grimpé des montagnes très hautes autour du monde. Est-ce que grimper des montagnes ça vous aide pour avoir de l’argent ou est-ce que c’est pour le plaisir ?
Ça m’a aidé parfois à lever des fonds pour l’association mais maintenant je le fais vraiment par passion, diriger l’association est difficile et stressante alors ça m’aide.
Mon partenaire est Paul English, il est très généreux. Paul voulait aider Haïti, et j’ai décidé de me joindre à lui. Notre autre partenaire s’appelle : Marie Flore Chipps une haïtienne qui connaît très bien ce système.
3. Pourquoi est-ce-que vous avez commencé votre association ?
L’éducation aide à réduire la pauvreté et en Haïti c’est très nécessaire. En ce moment l’éducation est un luxe mais tout le monde doit l’avoir.
5. Combien de personnes font partie de votre organisation ?
5 personnes qui travaillent à plein temps à Boston avec un board de directeurs de 5 autres personnes et en Haïti un groupe de 402 employés en tout.
6. Est-ce que les personnes gagnent un salaire ou sont bénévoles ?
Oui, nous les payons tous, on paye 3000 dollars par mois nos professeurs (un bon salaire pour les encourager à rester)
7. Que fait exactement ton association?
On dirige 42 écoles, on supporte des écoles, on fait la gestion, on construit des écoles, on donne du matériel, on donne accès à des programmes de santé aux enfants, on fournit des programmes de cantine et on donne une excellente formation aux professeurs.
8. Qu’est-ce-que vous faites pour lever des fonds?
On rencontre des personnes qui ont beaucoup d’argent qui veulent faire une différence. On travaille avec beaucoup de fondations et on fait des campagnes de publicité sur les médias sociaux.
9. Est-ce que vous avez un métier autre que l’association ?
Oui, je travaille avec ma femme, on a une école pour des orphelins au Kenya. Je suis aussi un alpiniste et je grimpe des montagnes avec des sponsors (Mont Everest 2 fois, Mont Kilimanjaro en Afrique, Mont Aconcagua en Amérique du Sud, Mont Blanc, etc.). C’est une passion.
10. Sur votre site, nous avons vu que vous avez grimpé des montagnes très hautes autour du monde. Est-ce que grimper des montagnes ça vous aide pour avoir de l’argent ou est-ce que c’est pour le plaisir ?
Ça m’a aidé parfois à lever des fonds pour l’association mais maintenant je le fais vraiment par passion, diriger l’association est difficile et stressante alors ça m’aide.
11. Combien d’écoles avez-vous créé en Haïti ?
Le groupe en avez déjà 41 écoles, nous avons une école préparatoire et essayons de construire le meilleur lycée en Haïti, donc 43 en tout.
12. Quand avez-vous commencé à vous inquiéter pour Haïti ? Est-ce que le tremblement de terre a motivé votre choix ?
Non, pas au début, j’aurais bien aimé dire oui mais à cette époque, j’étais au Kenya. En fait, c’est un ami avec qui je déjeunais à Boston qui m’a proposé de l’accompagner en voyage là-bas et c’est là que tout a commencé.
13. Que faites-vous en Haïti exactement ?
Un groupe éducatif qui s’occupe de l’école (de la maternelle - 9ème grade), corrige le curriculum, matériel, paye les professeurs et s’occupe de l’infrastructure.
14. Comment avez-vous boosté votre association au début ?
J’ai reçu des gros dons de quelques particuliers très généreux, des fondations et d’autres associations nous ont aidés.
15. Travaillez vous avec d’autre association ?
Oui, c’est vraiment important de trouver des gens qui vont nous aider, des partenaires. Ces gens dirigent les choses pendant que nous on lève des fonds.
16. Obtenez-vous de l’aide du gouvernement ?
On a signé un contrat avec le gouvernement. Ils payent une portion des salaires des professeurs en Haïti.
17. Avez-vous des membres de votre association qui sont haïtiens ou qui vivent en Haïti ?
L’équipe en Haïti est haïtienne, il n’y a pas d’américain dans notre équipe là-bas.
18. Est-ce que votre site web collecte de l’argent ? Si oui, est-il la meilleure façon de gagner de l’argent ?
Le site web gagne de l’argent. Mais parler à quelqu’un est la meilleure façon.
19. Quels sont vos contacts en Haïti ?
Le gouvernement, nos partenaires et la communauté sont nos contacts.
20. Quels conseils avez-vous pour qu’on puisse réussir notre action ?
Si vous croyez vraiment très fort en quelque chose ; les gens vont te donner de l’argent même s’ils n’aiment pas la cause. Ça peut faire bizarre de demander de l’argent face à face et ça peut faire peur. Mais c’est important de leur faire comprendre que c’est utile.
Le groupe en avez déjà 41 écoles, nous avons une école préparatoire et essayons de construire le meilleur lycée en Haïti, donc 43 en tout.
12. Quand avez-vous commencé à vous inquiéter pour Haïti ? Est-ce que le tremblement de terre a motivé votre choix ?
Non, pas au début, j’aurais bien aimé dire oui mais à cette époque, j’étais au Kenya. En fait, c’est un ami avec qui je déjeunais à Boston qui m’a proposé de l’accompagner en voyage là-bas et c’est là que tout a commencé.
13. Que faites-vous en Haïti exactement ?
Un groupe éducatif qui s’occupe de l’école (de la maternelle - 9ème grade), corrige le curriculum, matériel, paye les professeurs et s’occupe de l’infrastructure.
14. Comment avez-vous boosté votre association au début ?
J’ai reçu des gros dons de quelques particuliers très généreux, des fondations et d’autres associations nous ont aidés.
15. Travaillez vous avec d’autre association ?
Oui, c’est vraiment important de trouver des gens qui vont nous aider, des partenaires. Ces gens dirigent les choses pendant que nous on lève des fonds.
16. Obtenez-vous de l’aide du gouvernement ?
On a signé un contrat avec le gouvernement. Ils payent une portion des salaires des professeurs en Haïti.
17. Avez-vous des membres de votre association qui sont haïtiens ou qui vivent en Haïti ?
L’équipe en Haïti est haïtienne, il n’y a pas d’américain dans notre équipe là-bas.
18. Est-ce que votre site web collecte de l’argent ? Si oui, est-il la meilleure façon de gagner de l’argent ?
Le site web gagne de l’argent. Mais parler à quelqu’un est la meilleure façon.
19. Quels sont vos contacts en Haïti ?
Le gouvernement, nos partenaires et la communauté sont nos contacts.
20. Quels conseils avez-vous pour qu’on puisse réussir notre action ?
Si vous croyez vraiment très fort en quelque chose ; les gens vont te donner de l’argent même s’ils n’aiment pas la cause. Ça peut faire bizarre de demander de l’argent face à face et ça peut faire peur. Mais c’est important de leur faire comprendre que c’est utile.